Recherche par auteur : Pagnol, Marcel
4 résultats.
Lu par : Pascale Huraut
Durée : 7h. 39min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 18953
Résumé:Au village des Bastides Blanches, on hait ceux de Crespin. C'est pourquoi lorsque Jean Cadoret, le Bossu, s'installe à la ferme des Romarins, on ne lui parle pas de la source cachée. Ce qui facilite les manœuvres des Soubevran, le Papet et son neveu Ugolin. qui veulent lui racheter son domaine à bas prix... Jean de Florette (1962), premier volume de L'Eau des collines, marque, trente ans après Pirouettes, le retour de Pagnol au roman. C'est l'épopée de l'eau nourricière sans laquelle rien n'est possible. Marcel Pagnol y développe l'histoire du père de Manon, évoquée sous forme de flash-back dans le filin Manon des sources (1952). Les dialogues sont savoureux, et la prose aussi limpide que dans les Souvenirs d'enfance. Quant au Papet et à Ugolin, à la fois drôles et terrifiants, ils sont parmi les créations les plus complexes de Pagnol. " Tri comprends, s'ils avaient bu l'eau de la citerne, c'est sûr qu'ils seraient morts tous les trois, et moi ça m'aurait embêté. D'avoir bouché la source, c'est pas criminel : c'est pour les œillets. Mais si, à cause de ça, il y avait des morts, eh bien peut-être qu'après nous n'en parlerions pas, mais nous y penserions.
Lu par : Christine Levoir
Durée : 8h. 20min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 18952
Résumé:Manon des sources est le deuxième tome de L'Eau des collines, diptyque romanesque de Marcel Pagnol publié en 1963 ; c'est la suite de Jean de Florette. Ugolin prospère sur la terre de Jean de Florette, les Romarins, acquise par son Papet et lui grâce à des manœuvres immorales. Manon, la fille de Jean de Florette, est devenue bergère et vit dans les collines, évitant les contacts avec les villageois. Le Papet, vieillissant, somme son neveu de se marier et d'avoir des enfants. Ugolin, qui a aperçu Manon, en est tombé amoureux. Mais Manon, connaissant le rôle criminel joué par Ugolin dans l'échec et la mort de son père, le repousse, d'autant plus qu'elle s'éprend de Bernard Olivier, le jeune instituteur du village. Elle surprend une conversation entre deux villageois et comprend que tous savaient qu'il y avait une source aux Romarins.
Lu par : Paula Viala
Durée : 4h. 24min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 25328
Résumé:Pascal, le puisatier, est veuf. Cependant, entre son ami Félipe et sa fille aînée, la sage Patricia, qui élève ses jeunes sœurs, il est un homme heureux. Mais Patricia faute avec un bel aviateur qui part pour la guerre, et qui est porté disparu... La fille du puisatier (1940) est la seule réalisation de Pagnol durant la guerre. C'est un film en prise sur l'époque. Il est relativement méconnu, malgré le face à face unique qu'il présente entre les deux acteurs fétiches de Pagnol, Raimu et Fernandel. Charpin fait des merveilles en boutiquier enrichi. Josette Day, compagne du cinéaste au moment du tournage, endosse le rôle traditionnel de la jeune première séduite.
Lu par : Loïse De Jadaut
Durée : 8h. 5min.
Genre littéraire : Théâtre
Numéro du livre : 30092
Résumé:" En adaptant la trilogie, j'ai souhaité revenir aux sources de cette mythologie comme d'autres revisitent inlassablement Shakespeare, Tchekhov ou Molière. Je suis reparti des pièces de Marcel Pagnol bien plus que du film d'Alexander Korda - Marius - ou de celui de Marc Allégret - Fanny. On trouve ici ce qu'on retrouvera dix ans plus tard dans La Fille du Puisatier. Tout chez Pagnol est répété. C'est le même thème qu'il traite indifféremment, la poursuite sans trêve de la recherche des sentiments. De nouveau, nous sommes face à l'absence de la mère, au départ des enfants et à la figure forte et maternelle du père. Ces deux récits cristallisent de nombreux thèmes modernes et intemporels que je souhaitais mettre en avant, et notamment celui des liens du sang. La question centrale est celle de la paternité. Qui est le père, celui qui paye les biberons ou celui qui donne la vie ? Et si les liens du sang n'étaient pas si primordiaux et que seul comptait l'amour ?" Daniel Auteuil.